11 mars 2008

Quand Rome tombera... et avec Rome, le monde - Byron

Pas de scoop sur les bords du Tibre : les flots de touristes moutonnent au gré des sommets de l'humanités. Lieu inoui où s'accumulent les restes de deux à trois mille ans quasi ininterrompus de ce que l'Homme a fait de mieux et de pire : arts, civilisation, perversion et politique. Le mot qui compte c'est : "les restes".

Alors facile de sombrer dans une certaine langueur. Effectivement plus d'orgies, une création a minima depuis l'EUR, et les bondieuseries comme inspiration. Mais partout la beauté naturellement exaltée, la fougue et la joie. Je n'ai pas su où donner de la tête pour sentir ces contrastes.

Le week-end s'est achevé en fanfare en retrouvant MonSignore dans une limousine en route pour l'aeropuerto, et surtout avec cette dégustation qu'il nous a offert de patisseries à la ricotta et pistache au lounge ultra-design de Fiumicino. Rome c'est d'abord un style indicible.

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