La parution du recueil des "Ecrits corsaires" de Pier Paolo Pasolini permet de revenir sur des perles conceptuelles. Pasolini, papal, rejette "l'univers mécanique et purement terrestre" d'une société de consommation et enrichit son propos d'une réflexion sur la consommation sexuelle, baptisée liberté sexuelle, devenue "une convention, une obligation, un devoir social, une anxiété sociale".
En cette rentrée, BadBoy qui voit les amants plus exhibés sur les pages FesseBouc que les maris, n'est pas loin de penser, dans une pirouette pasolinienne, que "vieux jeu = plus libre" ! Attention, il ne fait pas profession de vertu, il est très mal formé et peu doué en la matière, mais il exprime une sorte de revendication du bonheur dans l'aliénation au sein du couple.
7 sept. 2009
Pasolini et BadBoy sur la même longueur d'onde
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