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BadBoy a décidé d'hiberner !
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Pour commencer décembre, BadBoy est dramatique, lyrique, illuminé par le noir, jouisseur et joueur, gourmet et gourmand, heureux.
3 déc. 2009
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Libellés : Ego
1 déc. 2009
30 nov. 2009
Sporty
BadBoy a osé l'aquagym hier pour se dégriser et parce que le ciel était tellement peu inspirant qu'à 16.00 il n'avait pas encore mis les pieds dehors... Expérience pathétique car si, sur un vélo, il suffit de pédaler, sur un runner, de courir, sur un rameur, de ramer, là, il fallait aquagymer et ça mis à part le coach au corps grec et visage italien personne ne sait vraiment ce que c'est, et pourtant c'était pas faute de le fixer...! Bon BadBoy exagère, il a tout de même senti ses abducteurs mais faiblardement.
Lot de consolation : extrait de ffw Mag! repéré par MadeInBrazil.
Bilan : BadBoy est passé au Klay vendredi soir, samedi après-midi et dimanche après-midi !
Disco Zoo
Dimanche matin, BadBoy a conduit en sortant de la Club S, ce qui est une bétise impardonnable, une promesse qu'il fera donner à ses neveu et nièce de ne pas réitérer après tant de gin-tonic, mais bon c'est ainsi.
Il était garé au parking Vinci de la place de la Concorde... la preuve en anglais et idéogrammes ci-contre. Comme si Vinci souhaitait ainsi péréniser la tradition des hiéroglyphes de l'obélisque ?
En attendant, cette loufoquerie était bien gentillette au regard des créatures Disco Zoo de la Club S. Fameuse soirée pour qui aime les univers chauds et humides (la clim' n'ayant toujours pas été inventée dans ce monde interlope), mais très fameuse soirée tout de même ! Quel feeling...
C'est beau et bon mais pourquoi ?
Last week, BadBoy anticipant un w/e dépravé de toutes ambitions culturelles est allé voir Matisse et Rodin au Musée Rodin. Nocturne cocktailesque de rattrapage après avoir raté le vernissage...
Deux grands artistes dont on se demande tout de même pourquoi ils auront ainsi été invité à se regarder en chiens de faïence, parce qu'à part leur contemporanéité, BadBoy n'a pas bien vu les points communs. Et ce ne sont les danseuses ci-dessous qui vont le lui expliquer, même si elles le ravissent.
27 nov. 2009
Upgrade
BadBoy laisse tomber la LIM et la Matinée (au passage les deux visuels ci-dessous pour deux soirées en concurrence dimanche soir sont drôles de similitudes et pathétiques de grossièreté), il va juste prendre un petit Club Sandwich au lion ou au crocodile, il hésite, mais tant qu'à faire, faisons chic.
En attendant, soba et millefeuille au thé vert de Sadaharu A. chez Yen à Saint-Germain ce soir...
25 nov. 2009
Yourcenar sous nos pas...
Bruxelles a eu la drôle mais intéressante idée de compléter l'appellation Yourc' d'un passage par l'adjonction de phrases de la Grande Dame (ici Zénon) un peu partout à l'entour, quelques pierres gravées et puis ces plaques dans le sol...
Il est écrit : "il s'agit pour moi d'être plus qu'un homme"...
24 nov. 2009
Flip flop
Et là il a eu envie de maudire les Boyz du hammam. Jusqu'à présent, soyons honnête, il avait surtout été tout emoustillé de la concentration d'hormones pompées par les efforts musculaires et la cardio et il se demandait pourquoi tout cela ne finissait pas en un vrai plat de spaghettis, c'est à dire tous entremélés et glissants, pardon il s'éloigne. Mais là il a analysé les comportements et il a été agacé par...
M. Tong, glabre, très fière de sa chute de reins qui porte sa serviette deux fois repliée, bandeau fifties mais à hauteur des fesses en quelque sort, lui va et vient - chasseur ?- et rentre et sort toutes les deux minutes - on veut du calme et une porte fermée...
M. qui porte des tongs, et qui les porte comme une gardienne d'immeuble de banlieue ouvrière en traine savatte - si le bruit du latex qui glisse vous manque, get a life, fuck et venez pieds nus, de toutes façons l'hygiène ici est exemplaire...
M. LeBoeuf, qui est un vrai male et le confirme pour se rassurer en passant son temps à respirer grand et fort comme si il était toujours en train de pousser de la fonte, mais mon chéri fais-toi ramoner/déboucher les bronches et passe du naseau à la narine...
M. qui se gratte, cause qu'il a du voir dans un film intello japonais en noir et blanc qu'au Japon les mecs s'étrillent au sauna - manque de chance, ici c'est un hamman, et puis de toutes façons on veut pas savoir si ta peau de crocodile mérite ou non d'être gratouillée...
Enfin BadBoy se plaint mais il y retournera car il n'a pas le courage des étirements et trouve cela tellement voluptueux (illustration : Jon Kortajarena dans le dernier VH int'l).
20 nov. 2009
On en profite
Comme suite au post précédent, et parce que BadBoy est tout de même très heureux à l'approche du week-end... Cela tombe bien, vient de sortir sur Boyz-tography une série de visuels, très... émouvants. Avec la clope en prime. Merci au photographe, vingt ans, William Walsh.
Politiquement correct, minablement CONsensuel
BadBoy est atterré par le manque d'ambition des leaders politiques européens qui ont choisi un inconnu gris au nom court mais que jamais personne ne mémorisera au delà de la Flandre et de la Batavie en guise de Président de l'Europe... tout ça pour ça, toute cette bataille pour la réforme ! Et une anglaise qui s'occupait du Commerce à la Commission pour les Affaires Etrangères... c'est dire l'envie de faire envie, de faire adhérer à l'Europe des masses déjà un peu échaudées. Minable résultat d'un processus minable. Mais comme BadBoy pense que l'on n'a que les dirigeants que l'on mérite...
Et puis il y a cette interdiction par la régie publicitaire du métro de l'affiche du film sur Gainsbar'. On avait retiré la cigarette pourtant. Là, BadBoy est juste totalement en colère devant la connerie des hygiénistes. Bientôt regarder une bouteille de Meursault des Comtes Lafon sera un crime pendable.
Tiens pour la peine, ce soir, il va prendre un super rouge italien et à deux ils descendront la bouteille dans un geste militant.
19 nov. 2009
Paris Photo
Hier soir c'était plus que Paris Photo, et cela c'était génial, mais là on va parler de Paris Photo.
BadBoy nous fait son grand blasé : peu d'innovations sympathiques et beaucoup de recettes un peu éculées (si si, c'est comme cela que ça s'écrit)... surexposition ou blanchiment de bords de mer avec baigneurs, bibliothèques ou tours d'immeubles. Mais qui travaille de beaux portraits ? Qui fait du photoshop simplement à la hauteur de ce que nos publicitaires sortent ? Erwin Olaf fait un peu dans le vide... [du moins pour ce que montrent les galéristes... il s'est laché par ailleurs - cf. ici, but beware it's big!]
BadBoy a cependant eu très envie de jeter son dévolu sur des natures mortes inspirées des "early Americans" (c'est à dire lorsque les premiers yankee copiaient en 1700 et des brouettes ce que leurs ayeux bataves firent un siècle plus tôt ou deux !). Une certaine Sharon Core à la démarche très structurée : elle a peint, elle produit elle même ses fruits et elles les met en scène subtilement. Pix en référence © Galerie Yancey Richardson.
Ce qu'on trouve ici...
"Qu'est ce qu'une pensée structurée" et "inscription à une partouze"... voilà avec quelles recherches Google certains sont arrivés en ce lieu qu'il faut croire très multiusage ! En vérité BadBoy est assez flatté que ce petit chef d'oeuvre de la pensée contemporaine apparaisse en 7ème position seulement si on googueulise "Qu'est ce qu'une pensée structurée"... moins pour le deuxième search, encore que ça l'amuse tellement... et que cela lui donne des idées de vocation pour ce site qu'il peine un peu à animer ! En vérité, c'est si on est trop occupé de la main droite et que l'on tape donc de la main gauche "inscription à ube partouze" que ce site arrive en... PREMIER.
© Didio pour la pix sur Homotography.
18 nov. 2009
Ibiza, encore et toujours...
Un ami vient de passer le message suivant à BadBoy : "ici 28° top de top"... BadBoy qui a déjà rêvé à voix haute à Ibiza par deux fois au cours de la dernière semaine maudit en souriant cette cruauté !!!
17 nov. 2009
Une photo, peu de mots
BadBoy a marqué une pause chlorophylienne le w/e passé. La photo jointe, bien que prise à un autre moment de l'année dans le même lieu, explique son besoin de cette source... quand bien même, il a découvert une autre et nouvelle source parisienne...
Libellés : Chlorophylle, Ego, Pix
14 nov. 2009
13 nov. 2009
Un vieux crachoir à nouveau disponible, Vanneste
Ecoutons Christian Vanneste, député UMP du Nord : pour se décontracter en cette fin de semaine harassante, deux fois deux jours et la célébration de la victoire sur les boches, faut le dire quoi, Vanneste au moins devrait le dire, on les a niqués puis humiliés et ça se fête.
Excuse pour l'UMP : il est élu du Nord... l'électorat semble y être équivalent en finesse à celui qui amène le PS à maintenir Frêche à Montpellier...
Si on ne rit pas en l'écoutant en dépit de son comique de situation (un notable de province en cravate qui se prend au sérieux en débinant des vérités populaires de beauf à l'intelligence alignée sur la sienne, c'est toujours distrayant ?), il reste à se féliciter de ce qu'il semble finalement bien nous connaître : "curieusement les couples d'hommes sont un peu plus longs" (il parle la langue des analphabètes verbeux, i'veut pas dire qu'on est mieux dotés ou plus performants au lit, i'veut dire qu'ils durent plus longtemps... que ceux des lesbiennes !), etc...
Pour un milliard t'as un gig et son livre
Email reçu ce jour, sans commentaires (juste pour les myopes, Lauréole, propriété de la bonne et généreuse Liliane B, sponsorise un livre de photos de François M. Banier)...
10 nov. 2009
Fêtons l'été...
Mario Testino, l'esclave photographique de la GrandeAnna (cf. narration précédente), commet un opus sur Rio à sortir très vite. Pour méditer et pour dégriser un 11 novembre septentrional donc froid et gris, voici une paire de visuels pour célébrer l'été austral et préparer la suite...
Des bribes valent mieux qu'un long discours
A propos de la Sunday Marcel de dimanche soir dernier, seul moment mondain dont BadBoy a eu envie ce week-end, son énergie s'étant concentrée sur des moments d'amitiés simples (FE, SweedyV, Fif-PicsouMusclor) ou intimes (noname), à la propos de la Sunday M, donc vous suivez, le meilleur résumé est parvenu sur la boîte mail de BadBoy à la Cour ce matin : à BadBoy qui la qualifiait de brouillon, "on" a opposé léger, dissolu, fluide voire versatile... Et dire que c'est le haut de gamme de l'offre parisienne !
Innovation rididule
Mais quelle mouche a piqué BadBoy : il vient de se booker une visite d'un jour à Bruxelles... La grisaille du 11 novembre lui semblait devoir être insupportable à Paris, alors comme le pov' garçon n'a pas toute sa tête actuellement, il a proposé une galipade Thalys-HotelCosyChic BranchéChoCho-FaçadesArchitecturées-Brasserie-Bozarts à la cause de son absence partielle de tête.
Il doute un peu du caractère judicieux de son idée en regardant la météo et en se remémorant des expériences belges et néanmoins pro du passé, mais le sort est jeté... de toutes façons, il n'a plus toute sa tête !
6 nov. 2009
La Grande Histoire
On aura tout de même appris il y a vingt ans que le totalitarisme pouvait s'autoconsumer... Le XXème se sera en quelque sorte auto-régulé ainsi.
5 nov. 2009
Délation
Dîner très sympa entre Boys hier soir au restaurant du Klay, le nouveau klub de sport de BadBoy (en vérité ce n'est pas le nouveau, c'est le premier)... nouveaux profils très sympas avec lesquels la conversation roule, bon'enfant et joyeuse, jusqu'au dérapage, même pas du fait de Fif-conso, pour une fois.
Il y est devenu question de la consommation sur place dans les klubs de sport, si les plus mal intentionnés voient ce que l'on peut vouloir dire par là (et pour les plus obsédés de bouffe, non cela n'était pas le sujet). On y évalue ce qui est autorisé et ce qui ne peut pas l'être : BadBoy a frolé la délation par Fif-vengeur mais celui-ci n'a pas osé car il a été dit, entre deux éclats de rire, que c'étaient tous les mots en -tion qui étaient interdits : on vous laisse deviner.
Pour fêter cela, merci à ES, marque espagnole quasi-inconnue jusqu'à l'été et ses multiples maillots de bain à Es Cavallet, de nous avoir juste déballé sa pub pour la prochaîne collection. Tiens c'est pas un sauna au deuxième plan ?
Libellés : Boys, Fashion, Friends, SexOnTheBeach
Soeur Anne ne vois-tu toujours rien venir ?
BadBoy n'est pas hyper-nationaliste mais il tire une certaine satisfaction du fait que la France a réussi, au cours des 30 dernières années, à maintenir son standing économique, notamment grâce à sa maîtrise de certaines industries : aéronautique, transports en général, etc... C'était en particulier à ses yeux, le symbole d'un patrimoine relativement inoxidable, et la réponse aux craintes type péril jaune... une façon d'endiguer la lente érosion de la suprématie, un vague espoir que sur deux ou trois générations, on puisse encore parler de la France, au moins le temps de se préparer à voir d'essayer d'influencer la suite. C'était la preuve qu'à court terme on ne serait pas que dans une réserve à jolies choses et où on mange bien, mais aussi un pays au rayonnement intellectuel et innovant.
Alors il prend très très mal l'affaire de l'EPR, la nouvelle génération de centrales nucléaires, qu'Areva est en train de foirer. Cause que BadBoy a toujours pensé qu'à tout prendre, crever pauvres et enfumés aux gaz à effet de serre ou crever riche et irradiés, il fallait opter pour la deuxième variante et gérer le risque au plus serré. Il a toujours regardé de très très haut ses petits camarades de collège qui arboraient des autocollants "AtomKraft Nein danke", estimant notamment que Greenpeace cachait mal un financement et une inspiration bien trop rouges (avant la chute du mur et que Hernu leur fit l'honneur d'une ridicule déclaration de guerre) pour être crédible.
Alors il en veut à la parachutée incompétente d'Areva, Soeur Anne, qui plante le nucléaire français, son image, ses finances et antagonise de ce fait une partie de la population, alors qu'on ne m'a toujours pas démontré en quoi c'était mieux de crever sans usines, ni chauffage ni transports. Il se demande quelles saloperies elle a emporté dans ses malettes en quittant l'Elysée il y a un millénaire pour tenir, alors que depuis 24 mois la Finlande tire la sonnette d'alarme.
3 nov. 2009
Halloween dévoyé...
...et pour le meilleur. Cette fête yankee que BadBoy a toujours assortie d'un soupçon de mépris vient enfin de se révéler... !
C'est qu'après un samedi consacré au sommeil, à un apéritif tellement drôle avec un oncle et une tante de 80 ans et à la taille des rosiers de la Chlorophylle, la Club S Créatures a tenu toutes ses promesses... et plus parce que le hasard (enfin BadBoy aime à croire) fait bien les choses !
Look déjantés, musique très honnête, et de nombreux représentants de la tribu BadBoyzienne élargie ont assuré un moment d'enfer.
Bon soyons clairs, BadBoy s'est comporté très Bad, mais il n'avait pas le choix... "it was beyond his control". Et puis il faut bien que jeunesse se fasse ou se passe ?!
Et puis, nos suiveurs juniors dans la Boyzitude ont tendance a voir les choses avec tellement de légèreté que l'on ne se sent engagé à rien, alors autant apprécier. Et fi des ragots et commentaires sur les différences (ya même en fait un certain plaisir exhibitionniste)...
Libellés : Boys, Ego, Night, SexOnTheBeach
30 oct. 2009
La Chloro en attendant la Club S
Comme il l'indiquait un peu plus tôt, BadBoy se sauve se reposer au vert avant de festoyer en Créature ce samedi soir. Pour fêter cela et pour rassurer ses lecteurs les plus assidus : non il n'a pas décidé que ce blog serait définitivement chiant, il a sélectionné sur ACdG, cette promotion de Gilly Hicks, marque australienne de sous-vêtements féminins... la preuve que la campagne ça peut-être chaud !
Libellés : Boys, Chlorophylle, Fun, Pix
BadBoy s'oblige à une pensée structurée
Oui bon les précédents postes ne doivent pas faire craindre le pire, BadBoy reste un animal politique et social. On his mind, today quelques faits graves :
1- il y a vingt ans, il vivait en Allemagne dans ce qui était la République Fédérale, il représentait (avec un bel uniforme d'officier de Marine juvénile) les forces du Monde Libre face au système communiste pourrissant... il a donc vu tomber le mur, il y a vingt ans, en Europe, les gens fuyaient leur pays pour leurs idées et pour manger. Il se rappelle aussi l'aveuglement des agents diplomatiques qui ne voyaient pas le sens de l'Histoire, il se rappelle les vues courtes de Mitterrand sur la réunification, il se rappelle que les allemands eux pleuraient de bonheur ;
2- il a vu les photos de Barack Obama saluant les cercueils des militaires américains morts en Afghanistan. Quand BadBoy pense que Bush n'a jamais eu le courage de faire la même chose, qu'il interdisait même la représentation médiatique de la mort au front, il a juste envie de ne laisser qu'une personne aux mains des tortionnaires de Guantanamo : W. ;
3- Pierre Michon a obtenu le prix de l'Académie Française pour Onze. BadBoy est devenu un inconditionel mais il n'ose pas encore en parler dans ses diners flirteurs (flute, une rechute) ;
4- Le débat national sur l'identité française, il n'est pas certain que ce soit le sujet du moment, mais en revanche, le thème en soit de la "Francéité" le fascine. Il trouve que Max Gallo a posé de bonnes premières pierres ce matin dans le Figaro avec ses 10 points cardinaux à l'heure actuelle : droit du sol, égalité, Etat, citoyenneté, école, laïcité, éclatement, langue française, égalité des femmes, universalisme (humanisme universel).
Endomorphines
OK c'est pas lié à une activité physique particulière, mais BadBoy se sent bourré d'endomorphines actuellement. Il faut croire qu'il en a identifié une nouvelle source ?
Il va réfléchir à la question à la Chlorophylle durant 24 heures avant de revenir boire à la source samedi soir dans le cadre d'une Club Sandwich dont il attend peu mais espère beaucoup.
Libellés : Boys, Chlorophylle, Ego
Decision tree
-1. BadBoy avait passé une fin de semaine un peu terne
28 oct. 2009
Pour une jouissance à court terme
BadBoy a vécu dix années glorieuses depuis son retour des colonies, un épanouissement certain dans des vies qui ne le remettaient pas trop en cause, des grands moments de bonheur en couple que suivaient des crises amoureuses qui le faisaient se replier tellement sur lui-même (déjà qu'il est un peu égocentrique...) qu'il ne vivait plus, ni ne changeait rien aux paramètres de sa vie, intermèdes dont il refermait vite la parenthèse (il ne va pas ici hiérarchiser les couples et les ruptures, tout a compté, chacun dans son moment et d'ailleurs chacun est toujours essentiel).
Bref, il a vécu dans la perspective de bien-être supérieurs, prolongements de ce qu'il vivait ou croyait vivre ou, au pire, de ce qu'il croyait venir. Quant à ses périodes de célibat, en dehors de quelques furtifs épanchements très cachés et sans témoins, au hasard téléphonique, elles n'avaient de sens que parce qu'elles se finiraient "marié", et ses périodes de mariage n'existaient que parce qu'elles étaient définitives et exclusives (qu'il croyait !).
C'était un peu la jeune Cécile de V sortant du couvent avec quelques éruptions "hormonéennes". C'était génial pour BadBoy dans les périodes de couple (mais peut-être pas toujours pour ses chéris au même moment) et c'était horrible pour lui en dehors.
Tout récemment, il a constaté qu'il allait droit dans le mur, qu'il était juste fou, au sens propre de reproduire les mêmes choses en espérant un résultat différent, que ce n'était pas aux autres de se réformer mais lui qui devait revisiter tant de choses. Son but supérieur puisqu'il y croyait, devait avoir nécessairement une forme élastique, une structure non-homogène et variable dans le temps. Il ne pouvait tout contraindre à l'épouser. Il fallait oublier les histoires d'amour d'adolescence qui rendent heureux à 70 ans, conneries d'une littérature fumeuse... Il fallait comprendre qu'Hadrien avait eu plusieurs vies, que son amour d'Antinous n'avait duré que parce que le jeune bythinien avait disparu... Qu'il fallait accepter des choses qu'il n'avait pas vécues depuis quinze ans, accepter la générosité des bonheurs innocents et sans visibilité à court terme, en particulier. Evidemment devant les expériences accumulées, ce n'était pas un choix ; c'était une nécessité.
Depuis trois semaines, depuis une certaine expérience, il a opté pour des fous-rires furtifs, des plaisirs d'ado découvrant le corps de l'autre, des flirts non-consommés, des abandons de programme de dernière minute passeke fait-ch..r, des nuits trop courtes car le dîner trop long ou post-vernissage a presque empiété sur son rendez-vous du lendemain matin, des cochoncetés assumées, des enchaînements stakhanovistes d'activités qui lui font envie, des courses non-faites, des dîners ou des soirées où il connaissait peu de monde et où il irait parler aux autres inconnus, des appels intempestifs à ses amis... Il fait même son cinéma à la Cour avec des demandes extravagantes.
Et il est heureux, comme dans les grands moments de complicité avec ceux de toujours, ni plus ni moins, moments qui heureusement existent sous une forme nouvelle - la seule limite étant de s'interdire de faire du mal aux autres (ce qui n'est pas facile à juger car quand on est BadBoy on croit tellement qu'on est indispensable qu'on croit toujours faire du mal aux autres en n'étant pas là).
Aux dernières nouvelles, BadBoy a eu envie de faire son BadBoy d'il y a dix ans, il a remis une veste pour une soirée, comme un mec de son âge et de son background qui s'assume, soirée où il ne connaissait qu'une faible portion des teufeurs... il a vite zappé les nauséeux, il est allé franco vers un but, il a été vraiment très heureux avec tous les autres.
C'est juste un symptôme... Durera-ce ou ne durera-ce point ? On en reparle.
[un dîner à celui qui cromprendra le choix de l'illustration]
26 oct. 2009
Joie éthérée
BadBoy plane ce lundi... pas la tête en vrac comme d'habitude, mais avec une sensation d'altitude... effets secondaires d'un w/e beaucoup plus riche qu'attendu...
Malheureusement comme il parle dans le poste durant 48 heures il n'a pas de temps à lui, à vous, il ne peut tout narrer ici bas immédiatement.
23 oct. 2009
Blah blah 23 octobre creux
BadBoy ne ressentait pas trop l'envie d'écrire pour manifester son côté hein-quoi-qu'estcequi-se-passe léthargique de ce vendredi.
Il pourrait vous parler de son dîner jap très réussi hier soir et de sa bonne nuit de sommeil au dépend d'une soirée qui s'annonçait arty, multiple, garçonne et animée à laquelle il a renoncée pour le plaisir d'une conversation autour d'un alcool de prune, mais reconnaissons que vous ne venez pas ici pour cela, il aurait fallu du sex ?!
Si il avait des c...l..., BadBoy vous parlerait de la photo de star super-péteuse dont il a eu à comparer la vue avant et après une grosse vingtaine d'heure de post-production (rasage, décoloration, recoloration, rectification, déridulisation, intelligencisation !), mais il ne dira pas qui. Juste qu'il aura beaucoup moins de complexes désormais !
Allez hop au Klay avant un bon w/e parigot juste mondain comme il faut. Klay où il va peut-être croiser Fif-jaimelhumidité ou TLC-Pump dans la piscine (peut-être pas avec le même angle de vue que celui que nous offre Joseph Sayers by Hudson Wright).
22 oct. 2009
Sneakers by Pierre Hardy
BadBoy avait été totalement fasciné par Américan Psycho à sa sortie... qui ne l'eut pas été... qui ne le serait pas en le découvrant aujourd'hui ? Il y a la fameuse scène de comparaison des cartes de visites, version cadre cocaïnomane de la comparaison de choses viriles. Alors lorsque ce petit bijou de réalisation est arrivé sur mon wall FaceBitch, je l'ai revu deux fois, vu trois fois, c'est tout dire ! Check le décor, mate les Boyz...
Arty suite
BadBoy a donc inauguré la Fiac du Grand Palais hier... pas extatique comme édition, quelques bons moments, beaucoup de bâillements d'ennui malheureusement aussi - FE aura (pour une fois !) été moins sévère que BadBoy.
BadBoy pense qu'on en a marre des néons, sauf retours aux origines genre François Morellet, de la x millième revisitation de Vasarely qui a déjà bien assez produit, des miroirs, des tasseaux de bois bruts posés en vrac ou pas, des micro-formats si laids qu'alors on les fait encore plus petits et qu'on en met 20 cote-à-cote pour faire "vraie oeuvre"...
Il a aimé : pas mal de travaux figuratifs avec des symboles ou du sens ou de l'intrigue, la fin des photos de sites industriels par des teutons, la fin des photos de plages surexposées par des italiens (une scorie relevée cependant), le très beau Kupka dans la partie muséale d'art moderne (où il y a tout de même beaucoup de choses sublimes, peut-être un peu influencées par la vente YSl, mais tout de même), le fusain de chute de reins chez Templon mais il ne peut pas se l'offrir, etc.
A noter cette année, peu de sexe ostentatoire : les riches sont de plus en plus pudibonds, ou bien ils sont de plus moyen-orientaux que russes peut-être ?!!
Pour conclure, BadBoy se demande pourquoi les journalistes se réjouissent que la foire internationale d'art contemporain serait géniaalllle et ne citent guère que des références d'art moderne ? Ah pardon, ils ne savent pas la différence ?
Le dîner ensuite chez Hanawa le grand petit frère de Kinugawa, heureusement oublié vers l'avenue Montaigne, aura été d'une autre trempe : fameux. L'atmosphère de lounge tokioïte perdu quelque part dans un look des années 80 bon chic bon genre local est fort agréable.
Un crocodile au déjeuner
BadBoy a oublié de vous narrer hier qu'il avait déjeuné dans son zoo favori de l'avenue Montaigne avec un crocodile. Non pas mon lunch date, révélé charmant analyste de l'âme humaine, même si lui même se complique un peu les choses dans le domaine (qui ne le fait pas ?!), mais la dame d'à côté... enfin plus précisément, le manteau en croco chocolat mat, probablement de chez Mémès de la décennie.
Ce n'était pas beau ou cher ou quoi que ce soit d'autre, c'était INOUI. Le problème pour elle et son fric et son mari/amant/mec c'est que déjà que le porte manteau n'était pas réussi, on ne voyait que le croco, même mat, même chocolat.
Et pour fêter cela, un look printemps 2010 de chez Mémès : rien ne vaut la peau de Boyz !
21 oct. 2009
Art invasion
MauvaisGarçon has been spending quite a bit of arty time recently. The opening of Antidote 5 on Monday was actually a bad start as MauvaisGarçon was like "yeeek, why did we bother coming here, it's empty, there is just nothing" - big disappointment, a little embarassing as I had encouraged FE to join. 15 (return-)pool laps helped to recover.
Yesterday was so hectic that MauvaisGarçon could not post down here, but it's because he squeezed into his diary an hour at Cour Carrée for the Fiac pre-op... he is afraid it was quite ghastly non-sensical as well. But for a couple of more like sculpture things. In the evening he was in Orsay and there he had his Art kick: Ensor is a MUST. Unknown, mad and still so contemporary - MauvaisGarçon wished he'd seen a tenth of that at Cour Carrée Fiac. ArtNouveauRevival is more of a lunatic idea, and quite badly executed at that, forget. The beauty behinfd that evening? Well, ArtyModel had devoted an evening of his much in demand schedule to MauvaisGarçon: guess what? It was a fab evening... (even as the Vin de Loire was weirdly "madérisé"!)
And talking of art, here is a free creation by MauvaisGarçon's girly team, stickers on a window of his office to celebrate his recent birthday, on a e-Invasion theme.
Libellés : Art, CorporateLife, Ego
19 oct. 2009
Douceur et réalité
Après un week-end très doux de retraite familiale du côté de Nantes, pause durant laquelle BadBoy a pu apprendre la différence entre garçons et filles grâce aux conseils prodigués par son neveu de quatre ans ("les garçons c'est bleu et les filles c'est rose"), il attaque une semaine cultureuse entre Ensor, Matisse, Fiac, Slick, Antidote et autres intermèdes galeriesques.
Pour faire face à la contemporanéité fumeuse de l'art contemporain, il est évidemment armé de son légendaire esprit de dérision... il a d'ailleurs repris une leçon de base ce week-end en lisant le Kaiser Karl qui a déclaré que dans la mode "personne ne veut (...) voir des femmes rondes", car cela ne correspond pas aux "rêves et illusions"... et la meilleure sortie : "Vous avez de grosses bonnes femmes assises avec leur paquet de chips devant la télévision qui disent que les mannequins minces sont hideux".
Oui évidemment BadBoy souscrit à 400 pourcent mais les chips c'est bien, passeke sinon, comme dirait Fif-conso, "ya rien à bouffer d'ssus", cf. notre crevette du jour.
16 oct. 2009
Rock Mood Board
BadBoy confirme certaines de ses intentions récentes : il croit que l'esprit rock n'est pas assez présent parmi les Boyz, et les plus rocks d'entre eux se marient et font des enfants (you don't mind I say so?!).
Alors comme composante de son militantisme rock, il propose...
15 oct. 2009
Mozart partouzé dans un township
BadBoy attire l'attention des plus aventureux de ses lecteurs sur une petite prouesse rafraîchissante programmée actuellement au Châtelet : la Flute Enchantée de Mozart revisitée par une troupe d'Afrique du Sud avec instruments traditionnels et chants multilingues "à la locale". D'un point de vue musical, c'est très inégal et il est particulièrement agaçant de voir la gauche caviar se lever applaudir à tous crins à la fin.
Mais c'est drôle, ça change, et c'est assez excellent pour se laver la tête après une journée de dur labeur, ne serait-ce que le jeu de reconnaissance des liens avec l'original, la joie communicative des danseurs, les moments lyriques réussis, etc. Et puis même si BadBoy n'est pas versé dans les blacks, pas spécialement, il y a observé de beaux specimens... cela dit les organes sont plus impressionnants chez les femmes (organes vocaux, s'entend).
Libellés : Zique
De l'intérêt de la masturbation
C'est la mise à jour un tantinet prétentieuse du statut d'une relation FesseBouc qui m'amène à parler de cela : le garçon a juste écrit "Parrhesia"... et hop BadBoy de se revoir trimant sur le thème dans le passé (lointain, merci !). Dans le souvenir de BadBoy, c'était grosso modo une attitude philosophique et un style de discours qui permet de faire passer des messages avec ce que l'on qualifierait peut-être aujourd'hui un hyper-réalisme provocateur tout en se défendant de le faire. Finalement BadBoy fait souvent dans la parrhésie...
Et une petite recherche sur internet l'a amené au lien entre liberté de parole et cynisme, bref au bon vieux Diogène, et là BadBoy ne peut pas s'empêcher de penser à son enseignement : comme on lui demandait comment échapper à la tentation de la chair (oui oui bien cela, je parle de nos obsessions maladives de Boyz), il répondait franco que la masturbation était là pour cela. [pour ceux que cela intéresse, l'Eglise a tendance à déconseiller cela aussi].
Dont acte. C'est dingue ce que l'angle philopsophique sur le sexe peut-être chiant. Mais BadBoy avait envie d'élever le débat ce soir.
En cadeau, un très beau Diogène par Gérôme.
14 oct. 2009
Shitty corporate life
BadBoy a des chevaux de bataille à la cour de l'Empereur qui ne le lassent pas : l'encouragement de la créativité est l'un d'entre eux. Grosso modo, BadBoy a pris progressivement conscience qu'il ne serait jamais un génie à la El Greco, Ingres, Sagan, mais qu'il valait mieux qu'il sache admirer, supporter et encourager ceux qu'il croit apercevoir à l'entour. Et il milite, et il vitupère lorsqu'il a l'impression que l'on attente aux idées nouvelles ("on n'est pas dans un quartier de haute sécurité ici tout de même")...
Et comme il est tout de même théatralement fol parfois, les courtisans de rang inférieur qui le vénérent notent ses bons mots... et paf pour son anniversaire, voici la banderole qu'il a trouvé dans son bureau :
Et ce n'est pas en me servant du Léoville Las Cases 1991 quasi-madérisé au déjeuner que la cour va remonter dans mon estime !
Libellés : CorporateLife, Ego, Fun
Bernard m'a tué
Non pas celui auquel vous pensez mais un ami qui m'a sorti tout de go au déjeuner "Tu ne veux pas être aimé pour ton intelligence tout de même ?"... Le débat portait sur la place que prend le rôle de BadBoy à la cour dans le jugement par d'autres notamment les Boyz du deuxième ou xième cercle, ou temporaires.
Cela dit au delà de la coquetterie de l'intello ex-catho qui méprise l'argent (mais l'adore au sens premier comme au sens commun) et valorise, croit-il, "l'humain, le vrai", il y a une bonne dose de justice dans cette affirmation. BadBoy devrait peut-être se demander si il aime l'image qu'il a à la cour et celle qu'elle lui donne à l'extérieur...
Pacs Pax
Le Pacs a dix ans... Sentiment mitigé de BadBoy : c'était une belle étape qui a permis à des faux-culs comme Donnedieu de Vabres de faire preuve de sens politique (pour mémoire en participant à une manif anti-Pacs où des pancartes aimables telles que "PD au bûcher" circulaient... sûrement une pulsion SM ascendant brûlure ?!) et plus généralement, en quelque sorte, à faire accepter le côté Boyz de la société.
Evidemment ce n'est qu'un succédané assez fade de mariage mais BadBoy ayant toujours eu un problème avec l'institution du mariage, entre, parfois, fête à neuneu et, assez souvent, faux semblant social à l'épreuve de 150 ans de bourgeoiseté fausse, il ne revendique pas ce droit.
Il revendique seulement le droit à l'acceptation et l'égalité et le Pacs aura tout de même bien décrispé les choses entre sa génèse et sa longévité évolutive (d'ailleurs essentiellement hétérote).
Un petit anniversaire donc car on en est toujours à voir sortir des visions crétines des Boyz si on en croit les pistes que donne la couverture médiatique de "Rose et Noir" : BadBoy en a assez de ces folles fardées que l'on nous donne comme étendards.
12 oct. 2009
Mer ou campagne
BadBoy a adoré la Chloro mais il se dit qu'un peu de mer serait bien aussi... Avis aux amateurs ! Ci-dessous Matthew Ludwinski par Christopher Kelly (photographe bloggeur à suivre).
Aux sources
Suite à l'agitation de son âme et de son emploi du temps des trois dernières semaines, BadBoy avait décidé de se retirer à la Chlorophylle pour un week-end calme, en quasi ermitage. Il appréhendait un peu de se retrouver là où tout s'était démélé il y avait si peu de temps... mais en fait les vertus sédatives du lieu ont joué à plein. Et puis TLC-ChouChou a retrouvé la magic touch pour gérer en harmonie "le parallèlisme". Donc BadBoy a passé en compagnie de Fif-Bree un moment serein et heureux.
On n'a cependant pas poussé le vice bourgeois jusqu'à ne rien faire que des confitures (la pix de gauche date d'un gros mois)... résolutions de paix vite abandonnées, BadBoy et Fif-Bree ont reçu les Boyz-dela-Berjo et leurs amis pour un dîner du samedi dont le thème était un savant équilibre entre "gueuleton-de-notaires-de-campagnes" et "mise-en-scène-elle-déco-spécial-chambres-dhotes-de-charme" ; à 2 h du mat, c'était Bob Sinclar Born in SixtyNine qui venait totalement contredire tout cela (suite à overdose de Dalida durant les 2 heures qui précédaient).
Entre cela et l'apéro au soleil de la Berjo le dimanche, le bonheur était dans la rencontre des amis des Boyz-dela-Berjo et des Boyz-dela-Berjo eux-mêmes, une joyeuse tribu que BadBoy s'était promis de ne pas plus étriller qu'en citant certains pseudos nouveaux : SexyBootBoy (il est des démarches que Falcon devrait redécouvrir - c'était ça ou SexyLatexBoy, le thème est récurrent), BoudinCru (en vérité, le pseudo a évidemment vocation à évoluer d'autant que son porteur est autrement plus attachant, mais il faudra d'abord qu'il accepte de faire amende honorable et reconnaisse publiquement que le boudin noir tourangeau est meilleur frit que cru, non de...), SexyInvertedPolo... [j'épargne la justice et consort, les filles, etc].
Sinon Sunday M très molle hier soir. Et il y manquait certains protagonistes dont je me charge de botter l'arrière-train soon !
Libellés : Chlorophylle, Friends
9 oct. 2009
Fred va aux putes
...bah oui quoi il va au JT de 20 h... enfin on sait pas si il est client... ce qui est certain c'est qu'on a vu la mère maquerelle, et elle, en matière de réussir avec ses fesses, elle a effectivement une belle expérience, la pauvre fille n'a même pas passé la première année de médecine, confondant probablement déjà l'avant et l'arrière.
Au menu pour un journal qui aura enfin fait remonter sa courbe d'audience (en même temps on ne peut que se féliciter que la blonde présentatrice participe à l'enterrement de TF1) : amalgame entre homosexualité et pédophilie, mise en accusation publique d'un homme non marié pour avoir recouru à la prostitution en privé (avait-elle jamais demandé à un alphamale de base si il allait aux filles ? en plus dans le cas d'espèce, si elle savait lire, elle aurait déjà eu la réponse dans l'excellent La Mauvaise Vie), usage quasi systématique du terme "garçon" pour ses partenaires (des fois que Madame Bellepère de Loches n'aurait pas compris que Fred, l'est pédé)...
Sidérant comme le petit monde se serre les coudes : pas une critique de ces pratiques ce matin dans les médias... Honte, mais on savait.
8 oct. 2009
Envie de vomir sur Benoît et Marine
...enfin sur Marine, plus vraiment, on s'était habitué à sa face de fausse-bourgeoise et vraie-poissonnière ainsi qu'à l'odeur nauséabonde et héréditaire qui s'en dégageait.
Mais Benoît ? C'est nouveau qu'un soi-disant socialiste exprime ainsi librement un instinct politique aussi délétère. Emanations verbales putrides d'un gauchiste maladif... mon pauvre garçon, morveux arriviste depuis si longtemps, déjà usé... tu rejoins Georges Frêches au rang des indignes de ton clan.
BadBoy a en d'autres temps salué le livre de Frédéric Mitterrand, souligné son agaçant sentiment de culpabilité sur son statut de Boy, sa difficile assumation. Il avait passé d'un silence pudique et pratique (mal à l'aise) les expériences de pratiques sexuelles monnayées, mais remarque bien, Camarade, que ce soit contre du cash à PatPong ou dans contre la carrière dans un bureau du FMI, Camarade au sens des Goulag Benoît, c'est un peu la même chose ?! [BadBoy précise qu'il est contre la prostitution à toutes fins utiles et qu'il en condamne l'usage]
Il faut lire le texte (ici merci le Monde), il n'y est pas question de limite d'age, il est juste question de payer et de se satisfaire. Il y est question de l'horreur d'en être à vivre sa vie ainsi. Il y a sûrement plus d'humanité dans ces pages que dans toute la vie de M. Hamon.
RIP Irving Penn
BadBoy collectionne modestement l'art contemporain... lorsqu'il a acheté sa première photo, pas si contemporaine, un tirage de Julius Shulman ancien, il a aussi beaucoup hésité sur un mégot de Irving Penn. Il repense souvent à sa fascination pour ce tirage au platine, dissection froide du temps passé futilement. Il a donc eu envie de rendre hommage au photographe ici.
6 oct. 2009
Une envie de sérénité
BadBoy s'est réveillé avec un sentiment que tout était allé très vite depuis mi juillet et qu'il fallait revenir sur terre.
Alors, pour temporiser...
Ce soir il va voir des tableaux de l'Age d'Or hollandais à la Pinacothèque, un prêt du RijksMuseum pour se masser l'oeil devant des beautés anciennes - et il s'interdira toute coupette de champ' ! Et il vient de se réserver le TGV du week-end chlorophyllien à venir. Il y sera avec Fif-fautquonsouffleaussi et une bande de joyeux châtelains en mode campagnard calme, et se réjouit d'avance.
Libellés : Art, Chlorophylle