BadBoy a donc inauguré la Fiac du Grand Palais hier... pas extatique comme édition, quelques bons moments, beaucoup de bâillements d'ennui malheureusement aussi - FE aura (pour une fois !) été moins sévère que BadBoy.
BadBoy pense qu'on en a marre des néons, sauf retours aux origines genre François Morellet, de la x millième revisitation de Vasarely qui a déjà bien assez produit, des miroirs, des tasseaux de bois bruts posés en vrac ou pas, des micro-formats si laids qu'alors on les fait encore plus petits et qu'on en met 20 cote-à-cote pour faire "vraie oeuvre"...
Il a aimé : pas mal de travaux figuratifs avec des symboles ou du sens ou de l'intrigue, la fin des photos de sites industriels par des teutons, la fin des photos de plages surexposées par des italiens (une scorie relevée cependant), le très beau Kupka dans la partie muséale d'art moderne (où il y a tout de même beaucoup de choses sublimes, peut-être un peu influencées par la vente YSl, mais tout de même), le fusain de chute de reins chez Templon mais il ne peut pas se l'offrir, etc.
A noter cette année, peu de sexe ostentatoire : les riches sont de plus en plus pudibonds, ou bien ils sont de plus moyen-orientaux que russes peut-être ?!!
Pour conclure, BadBoy se demande pourquoi les journalistes se réjouissent que la foire internationale d'art contemporain serait géniaalllle et ne citent guère que des références d'art moderne ? Ah pardon, ils ne savent pas la différence ?
Le dîner ensuite chez Hanawa le grand petit frère de Kinugawa, heureusement oublié vers l'avenue Montaigne, aura été d'une autre trempe : fameux. L'atmosphère de lounge tokioïte perdu quelque part dans un look des années 80 bon chic bon genre local est fort agréable.
22 oct. 2009
Arty suite
En haut à gauche du Marc Turlan chez Anne de Villepoix.
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