Le sauvetage par les autorités américaines de CitiGroup me rappelle mon sujet de croisade de prédilection : vive le libéralisme !!! Mais p#[@in, laissons les choses s'ajuster.
Et halte à la prise en otage du fric des contribuables et des épargnants par les banquiers ! Retour en arrière donc à vendredi : les pleureuses des marchés financiers sentant la terre trembler (apparemment injustement) sous les pieds de CitiGroup qui a fait un peu de tout en finance, et tout de même notamment du n'importe quoi, les pleureuses donc, ont réenclenché la spirale auto-dépressive des accapareurs qui n'auront ni Maserati ni Rolex pour Nöel (comme si les dindes devaient systématiquement se faire truffer au foie gras ?!).
Et le Père Nöel a du ré-apparaître, toujours le même miracle, l'Etat Providence ! j'ai un super-pote qui bosse là-bas et franchement il n'a ni la tête, ni le moteur, du fonctionnaire, alors laissons le gérer, spin-offer si il faut son activité qu'il mène avec superbe, whatever, mais à quoi bon cette dépense de fric ? Que les dignes-d'être-ruinés le soient une bonne fois pour toute et que l'on passe au sujet suivant. Qu'ils se refassent, ou pas. Et que le cours des choses reprenne... passeke là c'est pas pour dire, mais on va en entendre parler de la gestion des participations des Etats.
Pas plus tard qu'au dèj, entre courtisans de l'Empereur, on se posait la question des conflits d'intérêts : Mme Barbizet, grande argentière du père ébéniste devenu vépéciste-maroquinier, épouse de banquier soit-disant d'affaires, elle-même promue dans les stratosphères du nouveau fonds d'intervention de l'Etat, voulu (à défaut d'être conçu) par Sarko, fera quoi si son ancienne holding a des problèmes ; elle rachète ? Et d'ailleurs que sont devenues ses stock-options ? Au passage, pour illustrer la connerie que représente ce type de structure étatique, on a déjà nommé deux chefs à plumes pour gloser en haut, mais personne pour mettre le charbon dans la soute...
Vive le libéralisme ! A bas l'étatisme interventionniste !
De toutes façons, si les autorités américaines continuent de balancer les milliards de droite et de gauche ainsi, c'est le dollar qui va avoir un super problème de crédibilité et hop, ce sera parti pour une jolie dégringolade de la devise US... [les américains -autarciques- préfèreront probablement cela que de devoir faire soutenir leurs soit-disant fleurons par des chinois ayant précédemment accumulé les dollars, quitte à ruiner les dits-épargnants chinois].
25 nov. 2008
Crise : marre d'être pris en otage par les banquiers
Libellés : CorporateLife, Ego, Friends, Politics, Yankee
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