C'est un peu rude cet atterissage financier, les commandants de bord doivent se taper les hotesses et stewards pendant ce temps là (Lufthansa : Let Us Fuck The Hostess As No Steward Available), parce qu'on sent que le gouvernail est mal tenu depuis la cabine...
Mais il y a la force suprême et démiurge du marché ! N'en déplaise à tous les illuminés de gauche et de droite (la non-compéhension du libéralisme est équitablement répartie, la non-croyance en l'homme, l'individu, pour se gérér aussi) illuminés qui prennent leurs désirs pour des réalités : le marché est bien là et il veille intelligemment...
Qu'on en juge : les prix à la consommation ont baissé de nouveau en France en octobre, la £ivre britannique est passée sous 8 bon vieux francs, le pétrole sous 50$ le baril, General Motors qui n'a pas su faire une bagnole digne de ce nom depuis 20 ans (c'est à dire pas un tank pour bouseux de l'Arkansas en mal de substitut à leur sexualité) est à l'encan... ça s'ajuste tout seul ! Ce qui est trop cher l'est moins, ce qui ne sert à rien disparaît, les consommateurs et concurrents en bénéficieront !
Vive le marché, et il vaut mieux une douleur transitoire avec espoir de rebond qu'une lente glissade vers rien (le chemin que prend l'Angleterre travailliste avec un secteur bancaire nationalisé et une industrie disparue) : toutes les aides, nationalisations, béquilles du moment, il faudra les payer plus tard, et comme il n'y a déjà plus de fric en Occident, cela augment d'autant notre dette vis-à-vis des arabes, chinois, russes qui accumulent le fric... double ration de coups de fouet à venir !
13 nov. 2008
La "vérité vraie" grâce au Marché
Libellés : CorporateLife, Politics, Trends
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