Ce matin sur France-Info une porte parole se tordait les fesses verbalement pour expliquer dans quelles circonstances sa MILICE, il faut employer le mot, avait viré une bande de sans-papiers de ses locaux.
Un échos sympathique au post du 12 mai sur le site de la CGT : "Sans-papiers, des luttes et des victoires - Premier anniversaire au siège de la CGT Montreuil".
On ose imaginer l'émoi des forces de gauche si un cadre séquestré avait fait usage de la force pour retrouver sa liberté de mouvement. C'est vrai que la disponibilité des bâtiments syndicaux, c'est autrement plus légitime comme cause.
En pix en haut, en mars dernier, la sous-préfecture de Compiègne après le passage de sympathiques syndicalistes négociant pacifiquement.
25 juin 2009
BadBoy boit du petit lait en écoutant la CGT
Libellés : Politics
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