L'actu de ce jour nous donne deux exemples fameux de mauvaise foi de la part de vieux briscards que leurs choix respectifs (ou nullités respectives si l'on est plus sanglant) propulsent à grande vitesse vers des murs bien solides et que la perspective de se frotter violemment à la réalité amène à dire portenawak.
François Bayrou qui voit les oranges lambiner dans les sondages crie au complot et laisse entendre que s'il est si bas c'est parce qu'on ne l'aime pas - mais c'est vrai Monsieur Bayrou, c'est parce que vous êtes insupportable, que vous crachez dans la soupe et que vous ne faites que critiquer en trahissant votre camp, parce que vous faîtes des émissions sur France3 avec Madame le week-end avant de rejoindre Marielle pour la semaine, parce que vous avez -de fait- mis tous vos amis dans la panade, que l'on ne vous aime pas et que l'on ne vote pas pour vous, nous autres électeurs français.
Christian Lacroix qui, depuis qu'il a réussi à faire croire qu'une nappe proveinessale à la Souleiado pourrait faire un génial déguisement soi-disant haute couture, n'a jamais réussi à faire gagner un kopek à sa société. Et qui maintenant a le culot d'éructer à l'AFP sa colère contre "des actionnaires et une équipe qui ne m'ont pas permis de faire développer mon nom". Mais Monsieur Lacroix, ce sont les clients qui n'ont pas eu envie de vos produits, du passage de l'arlésienne à la sévillane en croyant inventer quelquechose, qui se sont lassés de l'absence de renouvellement, à imaginer qu'ils n'aient jamais été émerveillés par autre chose que du marketing de l'art...
4 juin 2009
Contre les mauvaises fois
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