BadBoy a l'art de prendre les sujets par le petit bout de la lorgnette. En fait il voulait attirer l'attention sur une de ces situations humaines qui le rendent heureux, toujours plus croyant en la force de l'Homme. La femme en l'occurence ici, puisqu'il s'agit de BlondieBretonne, une copine qui avait vécu à NYC depuis 20 ans et qui, victime de la crise (Hedge Fund crashé ou presque) a décidé que chercher un job now n'avait aucun sens et qui en a conclu que, fi de Wall Street, elle irait passer quelque temps à faire de l'humanitaire au Guatemala, enseignant l'anglais à de jeunes locaux et elle découvrant l'espagnol.
Depuis 3 mois elle envoie de courts compte-rendus par mail avec un album photo Picasa qui montre que 1- elle améliore ses techniques photos, 2- elle vit une expérience formidable. Elle vient d'annoncer qu'elle repartait au Guatemala après un mois européen au milieu de l'été.
Lire "I have found I enjoy teaching the kids. Either way I want to try to find better ways to reach the little ones and continue to see the progress from the older kids. And I want to continue to help with some of the dyslexic kids, as the school has limited resources and one extra teacher can make a difference." est un bonheur pour BadBoy. Entendons nous, BlondieBretonne n'a jamais un monstre assoiffé de fric et de pouvoir, bien au contraire, mais une amie fidèle que la vie avait rendue très autonome ; son enthousiasme nouveau dans une relation à autrui et ce qu'il implique de remise en cause sidère juste BadBoy.
© BlondieBretonne
Et dans la série, remise en cause, elle s'est donc mise au café, et fait percer les oreilles (influence bab' des routards locaux ?) A nos ages, c'est quelquechose.
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