BadBoy est allé voir et écouter Didon et Enée à l'Opéra Comique hier soir (à gauche par Pierre Guérin 1817 au Louvre).
Les Arts Florissants et Christie en grande forme pour soutenir une mise en scène d'abord lamentablement moderne (mise en abyme, scène sur la scène, bande de gamines virevoltantes) mais qui se révèle vite magique. Est-ce le miracle de Purcell, d'une acoustique inouïe (il faut redécouvrir l'Opéra Comique, le 3ème rang permet d'identifier toutes les sources sonores... si l'exécution suit, un paradis !), d'un choeur et de solistes époustouflants, ou le tout ensemble ? Même réac' comme un BadBoy, on est transporté par ce bonheur. FE a gromelé que la pièce avait été coupée pour tenir en 1 heure 10, c'est vrai, mais de ce fait, quelle densité !
Renaud Marchart a encensé à raison ce petit chef-d'oeuvre dans Le Monde : lire ici. Mais désolé c'était la dernière.
10 déc. 2008
La la la la 70 min de Purcell et c'est la joie...
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