30 mars 2009

J'en peux plus des w/e...

...je commence la semaine épuisé...

Bien que ce fut finalement assez cool puisque nous avons décidé avec TLCKiwi de n'aller à aucune des opportunités nocturnes qui s'offraient à l'imagination des boys parisiens ce samedi dernier. Est-ce la faute du beau temps qui nous encourageait à profiter de la journée ? Ou bien est-ce pour éviter les expériences chimiques d'autres boys (non non pas de noms, et puis ça n'existe pas ces choses là, que dans les films...) ? Donc ce w/e fut incroyablement sain : piscine pour BadBoy tandis que TLCKiwi retrouvait ses amies Véronique et Davina au Waouwwww + resto (Cinq Mars, la très fameuse Osteria interdite aux autres) en tête à tête avec TCKiwi (ou avec Fif-phosphorescent hier soir au Marcel) + balades + rien.

Au rang des intermèdes sociaux, il y eut une coupette post-dinatoire chez les adorables LaTour, mais on est arrivé à un drôle de moment où [censuré] avait déjà réussi à heurter FE et TLCKiwi qui n'ont plus eu qu'à se consoler mutuellement. Les psychodrames des vies domestiques s'en sont ainsi trouvés exacerbés, mais on espère fort que le soleil guérira tout cela... [et merci pour les coupettes !]

Au rang des intermèdes culturels, la visite de l'expo Controverses à la Bibliothèque de la rue de Richelieu. L'affiche est un peu gratuitement sacrilège, basée sur une des nombreuses pubs Benetton, le propos de l'expo est plus ambitieux et plus intéressant. La photo a, de par son apparition puis par son intrusion dans tout (ce n'est pas une contrepéterie), donc la photo a assez brutalement et régulièrement challengé les dogmes et les conventions. La photo est-elle un art, quel droit d'auteur, où est le vrai, où est le faux, le sujet est-il propriétaire de son image, de sa performance, que peut-on montrer, qu'est ce qui doit être montré, est-ce vrai parce que c'est montré, etc ? C'est bien fait, mais il y a beaucoup beaucoup trop de monde, et c'est conçu pour 10 fois moins de visiteurs à chaque instant que ce dimanche. En haut à gauche Oscar Wilde par Sarony.

Oh et puis ce satané changement d'heure qui nous a chouré soixante minutes de glande, comme si la crise n'était pas assez violente.

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