Cette expression mécaniste que l'on nous balance (ou certaines variantes) à l'entrée des boutiques, même des plus belles marques, est pour le moins irritante. Il serait plus logique de demander direct si on vient dépenser du fric !
En attendant, diner japonais avec ArtyModel et son délicieux SweedyFotoshopper hier chez Omen et ce soir avec un vieux pote, resté très vert, chez Blue Hill qui ne vaut pas plus que cela. A chaque fois, on mange bien, mais au delà du cinéma, il n'y a pas de quoi fouetter un chat nous dit l'homme en pantoufles/béret (BadBoy exceptionnellement).
Sinon ya comme un problème : la ville change trop peu vite côté shopping et je suis blasé.
Autre grosse couille : la clim' congélante partout... le réchauffement climatique n'y change rien : le boeuf américain porte un T-shirt sous sa chemise et fait refroidir à 5°C son bureau...
La cam sub-standard de mon MacBook ne me permet pas de vous gratifier de plus de pix, mais nous y reviendrons.
26 juin 2008
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1 commentaire:
...Mais non tu n'es pas blasé, depuis sûrement le post traumatisme septembre 2001 je trouve que NY n'a plus la même énergie , n'étonne plus, ...restent quand même son enivrante verticalité , ses sublimes grattes ciel art déco, central park et sa piste de danseurs en rollers le dimanche après midi , le whitney,le Gug , le WunderBar...
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