L'archétype du film orphelin : Savage Grace, à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes l'an passé... jamais sorti depuis... pas assez de fric à se faire pour un film anglo-saxon ? Je n'ai pas résisté à l'envie de coller cette pix avec le sensible (you see what I mean) Eddie Redmayne si bien mis en lumière à côté de la sombrement lumineuse Julianne Moore qui joue un rôle complexe au sein de la famille Bakélite : je cite "l'histoire vraie de Barbara Daly Baekeland, propulsée dans la haute société grâce à son mariage avec Brooks Baekeland, héritier de l'inventeur du Bakélite. Belle et charismatique, aux yeux de son époux fortuné, Barbara ne semble pourtant pas à la hauteur de son nouveau rang. La naissance de leur fils unique, Tony, rompt le fragile équilibre de ce mariage. Méprisé par son père, Tony grandit en se rapprochant de sa mère solitaire, une étrange relation va alors débuter entre la mère et son fils..."
Tony est évidemment homo et c'est un rôle que Eddie Redmayne tiendrait avec bonheur (?!) après le film à micro-succès "The Goat", où il tient le rôle du fils gay... d'un père zarbi... qui couche avec une chèvre... ce qui, étonnamment (!), traumatise le fils qui, donc, finit par désirer son père.
26 févr. 2008
Savage Grace avec Eddie Redmayne
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