20 nov. 2007

Brève : recette pour une union de 60 ans

Simple : choisir deux êtres, par exemple une descendante de vieille noblesse amollie et allémante et un eurotrash dano-grec (nations majeures, if I may - désolé à l'époque Monaco n'était pas dispo), s'assurer que la somme de leurs QI demeure inférieure à 69, faire débuter l'idylle dans un romantisme post-war, implanter un balai par invasion colonique pour Monsieur (lobomotie von hinten, attestée par de rares mais répétées prises de position sociétales, que dis-je féodales), et affubler Madame d'une collection de chapeaux ridicules ayant longtemps mal dissimulé une laideur juvénile (admittedly désormais transcendée par une jovialité rigide).

Et zou, rien que du bonheur (sauf qu'évidemment les gosses craignent à mort, mais les familles royales c'est comme les privilégiers grévistes, les générations postérieures, ils s'en tapent !).

J'allais oublier 8 m£ de salaire de fonctionnaire et quelques arrangements fiscaux pour Madame (400 000£ pour Monsieur afin de parfaire la castration mentale)... Rien que du bonheur !

Cela dit, je ne devrais pas me moquer : nous comme néandertalienne, on a Bernie et elle n'a ni la bonhommie ni l'élégance (ni l'intelligence de se taire) ni aucune des qualités de Madame.

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